Sujet: à la une, à la deux, à l'altrois Jeu 22 Fév - 23:58
babe, i'm out of this world
NOM : altrois
CLASSE SOCIALE : confortable
RACE : alien
FAITS EN VRAC fashion disaster ambulant, il a une obsession pour tout ce qui lui rappelle un tant soit peu la mode de sa planète d'origine ☆ malheureusement, ce qui y ressemble le plus, ce sont les rideaux à motifs ☆ si ça brille, ça l'intéresse ☆ utilise son don de métamorphose pour adopter l'apparence des gens qui l'ennuie, déblatérant des conneries d'une voix nasillarde ☆ altrois a une peur bleue des chats (dans son coin de l'univers, ils agissent plutôt comme ça) ☆ il a pitié des zombies et se montre toujours amical envers eux ☆ c'est pas vraiment réciproque ☆ fan de sci-fi, plus particulièrement de star trek (il aime star wars aussi, pas de jaloux) ☆ il a un joli sourire plein de dents pointues et ses yeux brillent dans le noir ☆ théâtral, il parle beaucoup avec ses mains, faites gaffe ☆ son passe-temps préféré est d'inventer des faits sur les aliens chaque fois qu'on lui demane des informations ☆ il marathone régulièrement des séries sur netflix avec sa colocataire ☆ si c'est pas ça, ce sont des vines
HISTOIRE altrois, sur sa planète, c'était l'équivalent de jean paul gaultier. il faisait fureur dans son coin du système solaire, en habillant les grands et les puissants. puis y'a eu une guerre, ça a décimé la population, il a pris ses tissus hors de prix et ses aiguilles pour ensuite se faire la malle, direction la terre. faut dire qu'une fois arrivé ici, il a pas trop aimé l'idée de se fondre dans la masse. surtout que dans sa culture, c'est l'apparence qui compte. mais bon, il est pas complètement débile et si survie égal camouflage, il s'y est plié sans trop de difficultés.
ça lui a pris un moment pour s'adapter, entre les sons qui lui explosaient les oreilles et la lumière qui lui défonçait les rétines, il avait pas l'air vraiment net (ou alors juste atteint d'une énorme migraine quasiment h24). mais bon, altrois s'est retrouvé à bosser dans la boutique d'une vieille femme (madame rosemary c'était la vraie mvp, elle faisait les meilleurs gâteaux et lui racontait des histoires de son enfance par-dessus les bruits de la machine à coudre. elle lui manque beaucoup), à refaire les boutons et les bords de pantalons. c'est loin de ce qu'il faisait à la base, il ne s'en est toutefois jamais plaint. passion m'voyez ?
il s'est fait grillé par un de ses voisins, qui n'a pas hésité à le dénnoncer parce que quand tu atteris dans le sud des états-unis, l'ouverture d'esprit, c'est pas tout ça. quand les militaires ont débarqué, il s'est laissé emporté sans faire d'histoires. il a un peu tapé du pied d'indignation, mais c'est pas mal tout ce qu'il sait faire quand il est contrarié.
si au départ, se retrouver sur une île où il n'avait plus besoin d'utiliser son don de métamorphose lui plaisait bien, ce qui l'attendait ensuite allait bien l'emmerder. lorsqu'il a apprit qu'on ne pouvait pas choisir son métier, il en aurait presque pleurer s'il n'avait pas été aussi choqué de la profession qui lui a été attribuée. jardinier. lui ? se salir les mains ? jouer dans la terre ? comment on dit déjà, ah oui : emdéair. altrois a dû mettre ses réticences de côté, même s'il a supplié, puis injurié le système, pour se mettre à bosser. on ne peut pas dire qu'il apprécie ça aujourd'hui, mais il fait des efforts pour gagner son salaire et vivre convenablement.